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XXXIV
PRÉFACE DE LA DERNIÈRE ÉDITION

duisent sous des formes variées : la personne, le rang, l’âge, le drame, tout changeait sans cesse. Mais il y restait toujours quelques traits qui représentaient plus ou moins vaguement une femme misérable et perdue, un destin obscur et cruel qui lui dérobait ou tentait de lui dérober toute réhabilitation et toute espérance. Tels sont les motifs pour lesquels cette addition spéciale, sur laquelle comptaient à bon droit plusieurs de mes amis, n’a pu être donnée en entier et ne peut l’être en ce moment ; voilà en second lieu pourquoi le fragment que j’en publie, a été mis à la fin, dans la place qu’il occupe, où il est bien en vue et sert d’épilogue.


Novembre 1856.