Sans aimer .ses appas.
Le bonheur ne peut .être
Où la Vertu n’est pas. ’.QuiNA~ur.
La poésie légère, qui dnpe souvent ~e vers de sept syllabes et celui de cinq, n’emploie guère .celui de six. La raison en est, je pense, que le vers de trois pieds forme un hémistiche del’-alexandrin~et trompe l’oreille par cette ressemblance.
§ ’7. ’VERS DE CINQ SYLLABES.
Le vers de ’CMt~ syllabes, on ’3’e ’deux ’pieds’et demi, est, comme nous bavons dît, ’ptus usité que celui de trois pieds.
On le joint à des mètres plus Jongs, ou bien on l’emploie seul. Dans les deux.cas, il souvent des-tiné à la musique.
Dieu descend, et revi~nt’ha’biter parmi TMus Terre, frémis d’aUégresse et de crainte. ; Et vous, sous sa majesté sainte,
Cieux, abaissez-vous 1 RAC.
On le-trouve fréquemment dans Quina[f !t’ ;
Chantons tour à tour
:Dans ’ces Heux aimables,
Les dieux favorables y font ieur séjour ;
Les seuls traits d’.Amour Y sont redoutables.
Chantons tour à tour Dans ces lieux aimables.
Rousseau l’a employé avec bonheur aans sa can tate de Circé