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V 4C De: Element; ce que c’e% i . 4- Les Ch milles ont pou (le l’anali(`e de

M ,E·Br°·=~b*· la plupart cles mixtes , iul`qu’â les ré-

Z È CmC|l$· _ ` L duire en terre Gt en eau , du-moms a en il ‘ juger par ce qui relie de feuûble après leurs opérations; mais ils y entrevoient de plus une matiere particuliere ,·qui coullaxmmut 8c préalablement, ou plu-

tôt cxclulivement â route autre-,pm_tc les

` marques , 8c produit tous les ellets qui = t caraérerileut & manilîlitent le lieu. Ã A On ne peut pas œnrmare avec ces L trois ûibllances, l’air pur , cette matiere , i line , Fluide, élallique qui letrouvc par

 A tout , même dans les corps les plus mal`-
fils , 8
qui n’el`t point (clou toutes preu-
 ves de fait , compolée de principes plus
 fimplesqzfelle. Qii peut donc lui refu-
 ler de mettre et particules au rang dc

V ces arômes primitifs , immuables, 86 le univerlrls , dont iles cotps·c0mmen•

`  `  cent à le compoler, 8: où le termine
 leur divilitm.
 É  L,},,:'.?,, vollâ <i¤¤C les quatre Elemcm dc;

si · E ,,,,,,,, du Anciens , lefeu ._ l’dzr , Veau , 8: la zer-

·@ u -Ãj*"'···‘~"f re, plus vraiment que les autres qu'-

ll A 2;:,;,};;:, 7,, on 1 im igmés les premiers materiaux , g l a rw rrînff- d.mt linliblement les corps fmt , du-

  i Z:"" '"°°' mains en partie, compolics. Je distin-
 V moins cu partie, car dans la tlillulution

î» ` des corps, liirtout des corps vivans Rc il iii _ï d'une partie des mineraux , deux autres · genres de corpulculcs ( l'/amie ôc lepl )