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— Aquïs(dc)medicatis ad Merlan ges. Parisus, iy65, in-4.

.— * Art (l 1) de se traiter soi-même dans les maladies vénériennes, et de se guérir de leurs différents symptômes. Paris, Çostard, 1770, iu-8. — Moyens.(des) les plus propres à éteindre les maladies vénériennes, pourservir de supplément à l’Art de se traiter soi-même, etc. Amsterdam (Paris), i77i, in-8.

Le premier volume a eu l’année suivante une seconde édit. en un volume in-12.

— Discours d’ouverture, prononcé le 6 février 1786, sur ce sujet : A qupls points doit, s’arrêter le chirurgien dans les différentes sciences dontl’étude lui est nécessaire ? Paris, 17S0, in-4-,

— Eloge funèbre du docteur iGuillotin. Paj’is, 1814, br. in-4.

— Éloge historique de M. Camus (médecin), Paris, 1772, in-8.

Réimprimé la même année, dans le tom. Il de la Médecine pratique de Camus.

— Observations et Recherches médicales, trad. deTangl. Yoy. ce titre.

— Utilité des Voyages sur’mer, traduit de l’anglais. Voy. GILCHRIST.

Bourru a eu part à la’rédaction du.Tournai économique et à la traduction des Recherches sur les remèdes capables de dissoudre la pierre, etc. (1775). Voy. BLACKIUE.,…

BOURRU (L.-Bénigne), curé de Grury, en Bourgogne. Recueil de Panégyriques et autres Discours ; de piété. Paris, P. Dûmes-. 7 « 7, 1726, in-12.

BOURSATJLT (Edrn.), P°ète dramatique, né à Muc-1’Évêque, en Bourgogne, en octobre i638, mort à Montluçon le 17 septembre 1701.. ;,

— Apparences(les) trompenses, ou Ne pas croire ce qn’on voit ; histoire espagnole. Nbuy. édit. Amsterdam, M. C. Le Cène, 1718, ih-12..

Cet ouvrage a clé publié par Boursauît, sous le titre de JTe pas croire ce que l’on voit, ïiistoire espagnole, 1670 ; .’."’

— : Artemise et Poliante, nouvelle. (Ouvr. posthume). Paris, Didot, 173g, in-12.

— Chefs-d’œuvre (ses) dramatiques. Paris, Selint Vàladc, 1791, 2 vol. in-iS.

Ces deux volumes contiennent Ésope à la Ville, le Mercure galant et Ésope à la Cour, avec une notice sur Boursauît et ses ouvrages, en tête.

—Les mêmes. Paris, Ladrange, etc.(*JVcr~. det et Lequien), 1824, in-iSi

Edition faisant partie d’un Képcrtojre du Théâtre français, pub !, par le même libraire..

— Les mêmes, sous le titre d’Œuvres choi— —

sïes, Édition stéréot. Paris, Didot (* Hector Bossaiïgc), 1811, 2 vol. in-18, 2 fr ; ; p3p. fin, 2 fr. ôo c. îpap. vél., 5 fr.; gr. pap. vél., 7 fr.

Cette édition contient de plus que les deux précédentes, Phaéton, et les Mots à la mode.

— Esope â la cour, comédie héroïque en 5 actes et en vers. Paris, Fr., Le breton, 1701, in-12.

—Lettres nouvelles accompagnées de fables, de contes, d’épigrammes, de rémarques et de bons mots. IIIe édït., augm. Paris, —F. Lcbrcton, 17, 09, 3 vol. in-12.

La première édition est de 1697— *,

—— Mercure (le) galant, ou la Comédie sans "titre, comédie en 4 actes et en vers. (Nouv. édit.) ; Toulouse, Devers, 1814, 1817, in-8, 75 c. —

— Prince (le) de Condé (Louis Ier, père d’Antoine, roi de Navarre). Nouv. édit. (enrichie de pièces justificatives recueillies par J.-B. DE LABORDE). Paris, P. Didot aîné, 1790, 2 vol. in-12, pap. vél., 8 fr.

La première édition, qui parut en 1675, est anonyme.

— Théâtre (son). Nouv. édition (précédée d’une Lettre à Boursault, sur les spectacles, (par le P. ÇAFFARO, théatin), correct augm. de plusieurs pièces qui n’ont point paru dans les précédentes. Paris, la comp. des libraires, 1746, 3 vol. in-12.

Édition plus complète que eclle.de 1723, 2 vol. in-12. On y trouve : Tom. Ier, Lettre sur lès spectacles ; le Mort vivant, comédie en 3 actes et en vers j les Cadenas, comédie en un acte et en vers ; le Médecin volant, comédie en un actpxt en vers ; les Nicândres, ou les Menteurs qui ne mentent point, comédie en 5 actes et eh vers ; le Portrait’du peintre, ou la contre-Critique de l’École des femmes, comédie en un acte cl en vers ; les Yeux de Puilis changés en astres, pastorale en un acte’cl en vers. Tom. II, la Satire dés satires (de Boileau), comédie en un acte et en vers ; Germaniciis, tragédie en 5 actes ; Marie Stuart, reine d’Ecosse,’tragédie’en 5 actes ; le Mercure galant ; Méléagre’,’tragédie lyrique en 5 actes ; la Fête de la Seine, divertissement en un acte et eu vers. Tom. III, Phaéton, coniédie en 5 actes et en vers libres ; les llots à la mode, comédie en un acte et en vers ; les Fables d’Ésope, comédie eh 5 actes et envers ; Ésope à la Cour.’.'.

, Boursauît appartenant au dix — septième siècle, nous ne faisons point ici rénumération des çdit.-orîginales des pièces de théâtre dont il est auteur; elles sont d’ailleurs toutes réimpr. dans son Théâtre : on lui doit ïtussi’quelques romans, quin’onl point été réimpr.

BOuksATJLT-MALHERBE (J..-F.). Affaire Boursauît contre Chaîâbre. _ Conclusions de M. Boursauît. — Aperçu de la situation de M. de Clialabre avec la caisse des jeux. — Plainte du sieur Boursauît sur la soustraction de 339, 189 fr. Paris, inip. de la Py Scherff, 1820, iù-4 de 24 pag. :

— Factum de M. : Boursauît contre sesca