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BÀR BAR 3ta3

tables, les avocats, notaires, procurenrsj’etc. ; nouv. édit. Paris, 1704, in-12.

BARRÈRE (Bern.) de/Morlaix, consul dé France à ïa Çorogne. Origine (de V) de la nature i des progrès et de l*iûfiuéiicë des établissements consulaires. Trad. de

.l’angl ; Toy. WARDEN (D.-BV).

BÂRRÈRE (P.), naturaliste et médecin,

né à Perpignan, où il est mort, "le ierno . ; membre 17, 55. ;.,., -/...’.'’V, ji’ : .’

— Dissèrtatîo physiéo-medica ; cur tànta huuianîingeniidiversitasPP/zr.j i742, in-4.

—Dissertation sur la cause physique de

la couleur dés nègres, de la qualité de l « urs « hçvenx, et de la génération de l’une et de Tàutre. Paris, 174*9 in-S et in-12.

Barrère prétend’que la couleur des xiègres, tient au passage de la bile dans les vaisseaux qui.se portent a la peau. Son opinion n’était pas nouvelle. Elle fut .censurée ïiveci amertuuié dansle 1 Journal des savants j(année 1742)— j. — : ,

— Essai sur l’histoire naturelle delà France « quinoxiaïë, ou dénombrement des plantes, des auimàus et des minéraux qui se trouvent dans l’ile de Cayënne et à la JGriiîane. Paris, 174* ? in-12. ——Ibid. 1749 » ïu-i2. —’’ ;’'-’  : ,’ 7 « . : » ’ —Observations anatomiques, tirées de l’ouverture des cadavres. Perpignan, 1701, inr-S.—Ibïd. 1753, in-4. — ’.’;  : " :

On trouve dans ce livre quelques remarques sur les maladies du foie, et sur les effets nuisibles de la jusquiame, ainsi’qu’une observation d’adhérence (Complète du péricardei au cœur », ,….’., " ;.’ :

.*— Observations sur l’origine et la formation des pierres figurées. Parw » 1746, in-8, ~-Ornithologise spécimen novum, sivë se ries avium-in Ruscmoney Pyrenoeis uiontibus, atque în Galliâ sequinôxiali observa t&Tixm, Perpiniant, 174-5 » in-4*

Barrèrc propose, à la fin de ce catalogue,’une nouvelle classification-dés oiseaux, fondée sui* la .considération’des pattes. .’.,’.

—* Question de médecine, , où l’on examine si la théorie de la botanique où Ma’ connaissance des plantes est Etécessàireà un mèàecin, ]Tarbonnej G. Besse, ! *] ttQjirirb.

„ Cet opuscule est dirigé contre, Thomas Garrère. L ! auîeur y prouve que la connaissance des plantes est nécessaire à tout médecin qui veut s’élever auxléssus dclacïasse des empiriques et-des’routiniers.

—Relation (nouvelle) de, la France éqùi oxialë. : .P « WV, i43s ip-ia’.’

Petit ouvrage dans lequel les plautes sont rangées Jia’v ordre alphabétique, et désignées sous lès noms que Plumier et Tonrneforti leur, ont donnés.-.Il ne .donne qu’une idée fort imparfaite de la riche Flore de la Guïané. Barrère indiqué les usages de chaque plante en médecine et en, économie : rurale. Il en a fait connaître quelques-up.es nouvelles, et çntre.au—, ;

très lesimarouba. : Dans.sailroiit)fi7/erÈ ? (ïfibn’, il décrit la culture dé la canne à sucre, , du rocou..3ii café, , de l’alpës et du manioc. : ,’' "’'’.

Baïrcré a décrit la manière dont JésEspagnols cultivent le riz, dans il’Histoire de l’académie des sciences.(.IJ.43).’, —

BARRÈRE DE YÎEUZAC (Bertr.), hé à IarI)Ss,’ : îe’ : io/scptembre.’i753 : -. ;.. —* Anglais (lés) au xixe siècle.— Par., Delarinay,’ans xm (186.5),’in-12. —. i : ’".’..

— Antiquités grecques, ou Notice et Mémoires.sur ; les recherchés faites en Grèce, dans Tlonie et dans l’Archipel —grec, en , 1799 et ann. suiv : . ; ; tràd. de l’angl. Voyez ELGIH. 1 ;.,..’, ,.’ --rApologie.PariVj 1795, in-8.

— Beautés (les) poétiques çl’Touùg, trad ; de l’anglais, ToyezÏODNG ; ; ; ’ :  : ’ ; —Cbants.deTyrtéè, trjdugrèc.V.TïRTEE. — : *Conduite (de la) des princes dé là maisqndè ; Bouibon, depuis 1789 jusqu’en i8o5. Paris,.march. de nouv., an xiri

.(j£o5), inS, 1 ;.- : . ;.’'. ; « :  ; » : . v. ’.- :

— Considérations sur la Chambré dès pairs, ou surla Chambredes représentants héréditaires, avant qu’elle soit acceptée, établie ; et composée.Paris, £. Co/as,.j8il, , în-S de : 48 pag., ; i fr. a 5c,.’.'. -rrÉloge de Lefranc del Pompigrian. T.85 ; in-S. ; ;

— Eloges académiques (contenant les éloges de Louis XII, de Georges d’Aniboise, de Séguier ; de J.--J ;. Rousseau, de Montesquieu, etc.). Paris, i806, in-8,.4-.fr. 5o c.

— Epoques (les) de la nation française et lesquatre dynasties. Par., Colas ; Delaunay,

’i8i5, in-8 de24 ; pag : ,’,’.’.’. ;  ;.’''.’ r-’*i’Éspirit,’.fle’vïiï°)f Neclier, extrait des çinqiYolumes de mélanges tirés de ses manuscrits, publiés en 1798’et en 1801. par M. B. D. V. Pari, L, Collin, ï8ô8in-8.

, —Esprit des séances des stats-généràux.

’ï789,’ln-8.’-i /’ « ' : ’'— ! ; ; -’V' »

— Essai sur le gouvernement de Rome, -trad. de l’angl. Voy. MOYLE (W.).—— Etrennés. du peuple, ou péclaràtion.des droits de l’homme et du citoyen, précédée d’une cpître aux nations. 1790. -Géo-Çhronolqgie de l’Europe, etc., tràd. de l’anglais. Voy. AsPis, (d’)..,.,

’ ; —— Histoire’des : révolutions de Baples, de-’ puis k’Sg-jusqu’en1806. Par., J8O6, in-S. —* Lettre d’uri.citoyen français, * en réponse à lord G ienville. Par., chez les march. de.nouv, , an vin(1800), in-8.’,.. ;’..’-. ; -Lettres politiques, commerciales, et littéraires sur l’Inde, trad. de.l’anglais. Voy, TA-YLOK. : ... ;  : .— .’-.’ : ’.

.--Liberté (la) des mers, ou le gouverner

Tou/J..-’ ’, . : ".’ » 5 ; …’