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22. — Dessins de monuments parisiens au Musée industriel de Cologne.

23. — Communication de M. G. Cain au sujet de la collection des dessins de Fontaine et de Percier.

24. — Observations relatives aux Arènes de la rue Monge.

25. — Don au musée Carnavalet de dessins relatifs au Palais de l’industrie.

26. — Transmission, aux services compétents et aux personnes intéressées, des décisions prises au cours de la séance du 8 février 1900.

27. — Communication relative à l’épée de Jean-sans-Peur, suspendue dans l’église de Montereau.

28. — Communication relative à l’emplacement de la nouvelle gare d’Orléans.

29. — Versement de documents historiques aux Archives départementales de la Seine.

30. — Communication de M. le docteur Capitan au sujet d’une grille et d’une enseigne en fer forgé.


La séance est ouverte à deux heures et demie, sous la présidence de M. le Préfet de la Seine, président.

1. — Liste des membres présents et excusés.

Assistent à la séance : MM. Alfred Lamouroux, Louis Lucipia, John Labusquière, Lampué, Chassaigne Goyon, Georges Villain, Despatys, Levraud, Augé de Lassus, Formigé, Gosselin-Lenôtre, Jules Guiffrey, André Laugier, Edgar Mareuse, Georges Montorgueil, Ch. Normand, Jules Périn, Tourneux, Paul Viollet, Le Vayer, Georges Cain, docteur Capitan, Guillemet, Wiggishoff, Garnier, Doniol.

Secrétaires : MM. Lucien Lambeau, Charles Sellier, Tesson.

Excusés : MM. Bunel, E. Détaille, A. Longnon.

2. — Incident relatif à la place des Victoires.

M. le Président donne communication d’une lettre faisant connaître les résultats obtenus par certains propriétaires et locataires de la place des Victoires relativement à la restitution des anciens aspects.

Plusieurs habitants ont pris l’initiative de rendre à ce coin de Paris l’harmonieuse symétrie qui en faisait, au xviie siècle, une des attractions de la capitale.

M. André Laugier fait remarquer que les trois mascarons de l’une des maisons de la place des Victoires, la plus voisine de la rue Vide-Gousset, depuis longtemps cachés par des planches sur lesquelles étaient peintes des enseignes, viennent d’être remis en lumière, ainsi que le sont déjà, depuis plusieurs mois, les mascarons de deux maisons de la même place, situées entre les rues de La Feuillade et Catinat.

Il serait à souhaiter qu’il en fût bientôt de même de la maison voisine de celle citée plus haut, sur la façade de laquelle une longue et large planche noire, — dont la plus grande partie ne porte plus d’enseigne depuis longtemps et n’a, par conséquent, aucune raison d’être, — recouvre complètement tous les mascarons sans exception.

M. le Président pense être l’interprète de la Commission tout entière en remerciant ceux des habitants de cette place qui ont bien voulu prendre l’initiative artistique indiquée plus haut.

La Commission décide, en outre, que les indications fournies dans la lettre en question seront transmises à l’Administration.

3. — Rapport de M. l’architecte Duprez relatif à l’École de médecine.

M. le Président donne lecture du rapport ci-après envoyé par M. Duprez, architecte :