Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/13

Cette page n’a pas encore été corrigée


Les srs de Kervcrn, paroisse de Rosnoôn, et de Gardalas, paroisse de Bothoa, déboutés à la réformation de 1671.

Quénktain (de), voyez Huchet.

Quf.ngo (de Ou Du), sr dudit lieu, par. de Saiut-Samson, — de Liudreuc, par. de Noyal-Pontivy — du Rochay, du Montrel, de la Foataine-Orain, de la Hardiais et de la Touche-du-Bosc, par. de Langast, — du Vaudeguyp, par. d’Allaire, — vicomte de la Marche, par. de Montfort, — baron de Molac, par. de Loudéac, — sr de la Ville-Maupetit, par. de Plémy, — du Pontgamp et de Cornéan, par. de Plouguénast, — vicomte* de Tonquédec, par. de ce nom, — marquis de Grenolleen 1779, et srde la Ville-Gourio, de la Houssaye, de la Tronchaye, de Penhouët et des Cloëtz, par. de Plessala.

Anc. ext. cliev., réf. 1669, dix gén. ; réf. et montres de 1423 à 1535, par. de Saint-Sairson, Bréhand, Langast et Plessala, év. de Saiut-Brieuc.

D’or au lion de sable, armé, lampassé et couronné de gueules, comme Léon de Kergarff. Devise : Cominùs et eminùs.

Alain, épouse vers 1350, Aliette de Qnénécan, dame de Lindreuc, de laquelle issurent : 1o Alain, sr de Quengo, écuyer dans une montre d’Eon de Lesnérac, reçue en 1382, et qui a continué la branche ainée, fondue vers 1535 dans Henry ; 2o Eon, sr de Lindreuc, marié en 1380 à Guillemette Prévost, dame du Rochay, auteurs de la branche de ce nom, à laquelle appartenaient : Guillaume, chevalier dn Camail ou du Porc-épic en 1448 ; François, chevalier de l’ordré du Roi en 1580, père de René, chevalier de l’ordre du Roi en 1612, gentilhomme de la chambre en 1621, marié en 1616, à Sylvie d’Espinay, fille de François, marquis de Broons et de Sylvie de Rohan, dont : 1o François, tué au siège de Bergues en 1616, 2o René, vicomte de Tonquédec, député en cour pour l’ordre de la noblesse en 1683, marié 1o en 1659 à Simone de Péréfixe de Beaumont, nièce de l’archevêque de Paris, 2o en 1667 àSylvie d’Espinay, fille d’Urbain, marquis de Vaucouleurs.Du l"lit issut:/osep/i, auteur de la branche de Crenolle, admise aux honneurs de la cour en 1765 et 1782, qui a produit deux maréchaux de camp et un lieutenant-général de 1780 à 1814 et s’est éteinte en 1829 ;

Du 2» lit issut René, auteur de la branche de Tonquédec qui existe encore, dont un page du Roi en 1777 et une fille à St-Cyr en 1783.

Quengo (du), voyez Henry.

Quénouas, sr de la Quénouasière, par. de Beaacé, — de la Manete, par. de Vénefiles, — de Palruon, par. de Fleurigné, — de la Gharpentière, par. de Miniac-Moivan, — de Lesquélec, — de Touchas, — de la Guélée, par. de Montreuil-des-Landes.

Anc. ext. réf. 1668, six gén.; réf. et montres de 1427 à 1513, dites par., év. de Rennes et ûol.

De sable au rencontre de cerf d’or ; aliàs : d’argent à trois chevrons de sable (Arm. de l’Ars.).

Antoine, vivant en 1480, épouse Michelle de Bailleul ; Marc, lieutenant de la juridiction de Fougères en 1553, épouse Françoise Aubry.

Quenquis (du), en français Plessis, voyez Plessis (du).