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EPISTRE.

épreuvent depuis plus d’un ſiecle de vos illuſtres ayeuls, & que vous ſoutenez avec tant d’éclat. I’aurois lieu de m’eſtendre icy ſur la grandeur & ſur le merite de cette tige glorieuſe ; Si mon ſtile eſtoit aſſez éloquent, & ſi l’eſtenduë d’une Epiſtre me le permettoit, quoy qu’il ſeroit fort ſuperflu, puiſque les grands & ſignalez ſervices qu’elle rend il y a pluſieurs ſiecles à l’Eſtat, ſont ineffacables du cœur de tous les veritables François, & particulierement de tous nos Bourgeois & Habitans. Qui