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101. Anhelantis posse Vulg. — Posse om. Bamb., Brotier, Sillig.

102. Canem ita monstravit Vulg. — Canem om. Bamb., Sillig. — Et fortuna Vulg. — Et fortunam Bamb., Sillig.

103. Cremaret tabulas Vulg. — Cremaret tabulam Bamb, Bortier, Sillig.

104. Et imaginem matris Vulg. — Et matrem Bamb., Sillig.

105. Centenas Vulg. — Vicenas Bamb., Brotier.

106. Capitolio alia Vulg. — Alia om. Bamb., Sillig.

107. Arreptantibus Vulg. — Obreptantibus Bamb.

108. Picturæ vias et compendiarias Vulg. — Picturæ compendiarias Bamb., Edit. Princeps, Brotier, Sillig.

109. Fuerat Vulg. — Fuit Edditt. ante Hard.

110. Aristides thebani discipulus. Fuerunt et filii Vulg. — Aristidis thebani discipuli fuerunt et filii Bamb.

111. De quibus Vulg. — De quo Bamb.

112. Pyreicus Vulg. — Piræicus Jan, et Keil (Anal., p. 224).

113. Il paraît que les mæniens étaient des sortes de balcons, de balustrades, ainsi nommés d’un certain Mænius qui en avait fait construire.

114. Calades Vulg. — Calates Bamb., Brotier, Sillig.

115. Ridiculi Vulg. — Deridiculi Bamb., Brotier, Sillig.

116. Junonis supremi conjugis Vulg. — Junoni’ supremi conjugi’ Sillig.

117. Marcus Ludius Helolas Ætolia oriundus Vulg. — Plaucius Marcus Cloetas alata esse oriundus Bamb. — Plautiu’ Marcu’ Cleœtas Alalia exoriundus Sillig. ex conject.

118. Venerabilior apparet antiquitas Vulg. — Venerabilior antiquitatis prudentia apparet Bamb., Brot., Sillig.

119. Omnis eorum Vulg. — Omnium eorum Bamb., Brotier.

120. Floridus, humilis rei pictor Amulius Vulg. — Floridus umidus pictor famulus Bamb. — M. Jan propose de lire et tumidus, renvoyant pour l’emploi de ce mot à Quint., XII, 10, 12. Le manuscrit de Munich a Fabius ; l’édition Princeps a Fabullus, ce que recommandent M. Sillig., Cat. Art., p. 215, et M. Jan.

121. Exempla Vulg. — Exemplaria Cod. Monac. — Exemplaria est recommandé par Sillig et Jan.

122. Sed Priscus Vulg. — Sed om. Bamb.

123. Έvέκαυσεν Vulg. — Enecaen Bamb.

124. Brietis Vulg. — Bryetis Bamb. — M. Keil, lb., p. 224, approuve Bryetis.

125. Candicantia faciant, coloremque condant nigro Vulg. — Candicanti faciant colore, quæ condunt, nigro Bamb.

126. Ex ipso Vulg. — Ex ipsa Bamb.

127. La date assignée à Euphranor fait difficulté. Ici et ailleurs (XXXIV, 19, 2), Pline le place dans la 104e olympiade : cependant ce peintre paraît appartenir à la seconde ou tout au moins à la première genération après Apelle ; et Apelle est de la 112e. C’est ce qui a engagé Falconet (t. IV, p. 234) à recommander la leçon du manuscrit de Saint-Pétersbourg, qui met Euphranor dans la 151e olympiade. — Marmora Vulg. — Marmorea Bamb., Sillig.

128. In universitate Codd., Sillig. — In om. Vulg.

129. Huic quidem Vulg. — Huic fidem Codd. — M. Jan remarque avec sagacité qu’il faut lire eidem, l’e ayant été changé en f.

130. Et filius Vulg. — Et om. Bamb., Brotier.

131. Mechopanes Vulg. — Nicophanes Bamb.

132. Au lieu d’Ulisses, M. Sillig, d’après Bamb. et d’autres manuscrila, met Ulyxes.

133. Coniti Nemeæa Vulg. — Cœnus Stemmata Bamb., Sillig. — Les Stemmata sont des écussons où étaient peints des portraits, pictos vultus de Juvénal, VIII, 2.

134. Craterus Vulg. — Cratinus Bamb., Brotier, Sillig. — Pompeo Vulg. — Pompeio Bamb. Pompio Codd. Barb.

135. Hippias Vulg. — Hyppis Codd. Hard. — Ipis Cod. Monac. — Hyppus Bamb. — M. Keil, ib., p. 227, pense qu’il faut lire Hippus ou Hippys.

136. Nicearchus Vulg. — Nearchus Bamb.

137. Requiescentem in officina fullonis Vulg. — Requiescentem, officinam fullonis Bamb., Brotier.

138. Et inungentem Vulg. — Et om. Bamb.

139. Aristonldes Vulg. — Aristocydes Bamb.

140. Carmanides Vulg. — Charmanides Bamb. — Charmantides, Keil, ib., p. 208.

141. Dionysiodorus Vulg. — Dionysodorus Codd. Regg.

142. Discaogenes Bamb. — D’après cette leçon, M. Keil, ib., p. 208, conjecture qu’on doit lire Dicæogenes. — Enthymedes Vulg. — Euhymides Bamb. — Euthymides est recommandé par M. Keil, ib.

143. Mydon Vulg. — Milon Bamb., Sillig.

144. Pyromachi Vulg.

145. Iaia Bamb. — Voy. l’Index des artistes, au mot Lala. — Perpetua Vulg. — Perpetuo Cod. Reg. II, Sillig.

146. Sopolin Vulg. — Sopolim Bamb.

147. Voy. le mémoire de M. Cartier sur la peinture encaustique des anciens, dans la Revue archéologique, t. III, 1845. D’après cet érudit, indépendamment de l’encaustique sur l’ivoire à l’aide du cestre, les anciens pratiquaient ainsi l’encaustique : ils dissolvaient dans du blanc d’œuf les cires qu’ils coloraient, ils se servaient du pinceau pour peindre avec ces cires, et enfin ils les exposaient à l’action de la chaleur.

148. Everteret Vulg. — Everterit Bamb.

149. Diopum Bamb. — Diopum om. Vulg.

150. Ex rubrica cretam Vulg. — Ex rubra creta Bamb.

151. Protypa Vulg. — Prostypa Bamb. (Salmasius ex conjectura), Brotier.

152. Effigiem Vulg. — Effigies Bamb.

153. Significarunt Vulg. — Significarent Bamb., Sillig.

154. Deinde eidem Vulg. Deinde om. Bamb.

155. Vulcaniveis accitum Bamb. — M. Jan conjecture qu’il faut lire Vulcanium Veiis accitum.

156. Nunc Vulg. — Etiamnum Bamb.

157. Simpuviis Vulg. — Sin puls (sic) Bamb. — Il faut lire simpulis, comme le recommande M. Jan.

158. Ibi Bamb. — Ibi om. Vulg. — Le manuscrit de Bamb. a trailis (sic), de sorte qu’on ne sait s*il s’agit de Tralles en Lydie, ou de Trallis en Carie.

159. Le manuscrit de Bamberg a tripatinium, ce qui peut-être la vraie leçon.

160. Nam nos Vulg. — Nam om. Bamb.

161. Non sum dicturus Vulg. — Non dicturus Bamb., Sillig.

162. Contraque Bamb. — Que om. Vulg.

163. Longum sesquipede, latum pede Vulg. — Longum sesquipedem, latum pedem Bamb.

164. Ulterioris Hispaniæ Vulg. — Ulteriore Hispania Bamb., Brotier. — M. de Humboldt a présenté, au nom de M. Ehrenberg, de l’Académie des sciences de Berlin, des échantillons de briques cuites, d’une légèreté extrême, et, à l’état de pureté, insubmersibles dans l’eau. La matière de ces briques, appelées à Berlin briques à infusoires, est une couche, terreuse en apparence, de neuf à douze mètres d’épaisseur, remplie entièrement d’animaux infusoires encore vivants et à carapaces siliceuses ; conche qui se trouve à une profondeur de trois à quatre mètres sous le pavé, dans plusieurs parties de la capitale de Prusse, comme aussi près des bords de quelques lacs. Le mélange terreux de la couche à infusoires ne s’élève pas à 4 pour 100. Les briques à infusoires, fortement cuites et vitrifiées, nagent sur l’eau : on les enduit de cire, pour que l’expérience réussisse plus longtemps. Les anciens connais-