l’autre. Bekker, p. 70 : et εἷ γὰρ ὅμοια ϰαὶ ἀνόμοια αὐτὰ εἴη, ᾗ ἔχοι ἐν ἑαυτοῖς ὁμοιότητα ϰαὶ ἀνομοιότητα, δύο που εἴδη ἐναντία ἀλλήλοις ἔχοι ἂν ἐν ἑαυτοῖς, etc.
Les manuscrits ont, les uns ἢ les autres ᾗ. Schleiermacher défend la première leçon ; Heindorf et Bekker ont adopté la seconde. À la réflexion, je me range à ce dernier avis, et je profite de l’occasion pour refaire ici la traduction de cette phrase : « Car, si elles étaient elles-mêmes semblables et dissemblables, en tant qu’elles auraient en elles-mêmes de la ressemblance et de la dissemblance, elles auraient en elles deux idées contraires entre elles. »
Cette répétition τῷ αὐτῷ est intolérable, et Bekker la retranche, en la mettant entre crochets. Heindorf s’arrête après εἶναι, et attribue τῷ αὐτοῷ à l’autre interlocuteur, en ajoutant ἐν : Ἐν τῷ αὐτῷ. — Πῶς γὰρ οὔ ; Mais quelques manuscrits donnent la leçon τῷ αὐτοῷ. Schleiermacher l’a préférée à la correction un peu forte d’Heindorf, et, avec Ast, j’ai suivi ce parti comme le plus naturel.