PAGE 236. — Après que nous ayons précédemment reconnu que ce qui n'est pas… BEKKER, p. 178: δταν ἄφθ… προδιωμολογημένα ᾗ τὰ πρὸ τούτων ὁμολογήθέντα.
J'admets avec Heindorf et Schleiermacher que τὰ πρὸ τ. ὁμολ. soit là pour τὰ μηδαμῶς ὄντα, dont il a été en effet parlé plus haut. Il serait même possible que cette formule τὰ π. τ. ὁμ., si peu élégante, après προδιωμολογημένα, fût, non la périphrase, mais la corruption de τὰ μηφαμῶς ὄντα. Je ne conçois pas que Bekker trouvant dans ses manuscrits λέγει, rapporté au sophiste, ait conservé la leçon λεγεῖν si évidemment vicieuse.
PAGE 247. — Il ne serait même pas raisonnable de reconnaître qu'il y eût aucun nom. BEKKER, p. 186 : καὶ τὸ παράπαν γε ἀποδέχεσθαι τοῦ λέγοντος ὡς ἔστιν ὄνομά τι, λόγον οὐκ ἂν ἔχον.
La leçon ἔχον, que contiennent un grand nombre de manuscrits, et que Schleiermacher et Bekker adoptent, donne un sens trop embarrassé. La correction si spécieuse d'H. Etienne, λόγον οὐκ ἂν ἔχοι, s'appuie aussi sur un manuscrit, et je n'ai pas hésité à l'adopter, à l'exemple d'Heindorf.
PAGE 250. — Parce que, ce qui arrive à l'exis-