chose elle-même sont les véritables producteurs.
Cela est raisonnable.
Maintenant tous les arts qui fabriquent les fuseaux, les battans, et les autres instrumens qui concourent à la production des vêtemens, nommons-les des aides ; et ceux qui travaillent les vêtemens et les fabriquent eux-mêmes, nommons-les les arts producteurs.
Très bien.
Parmi ces derniers, il serait très convenable de réunir ensemble, sous le nom de l’art du foulon, l’art de laver, celui de raccommoder, et tous ceux enfin qui s’occupent de soins pareils, et qui font partie de l’art si étendu de l’ornement.
Fort bien.
Et d’un autre côté, l’art de carder, celui de filer, et tous ceux qui concourent à cette confection des vêtemens dont nous nous occupons, ne forment qu’un seul et même art, celui que tout le monde nomme l’art de préparer la laine.
Sans aucun doute.