Comme tu le dis.
Il serait donc vrai de dire que la science de l’architecte est une science spéculative.
Tout-à-fait.
Mais lorsqu’il a porté son jugement, il ne lui sied pas, je pense, de s’en tenir là et de se retirer, comme faisait le calculateur ; il faut encore qu’il commande à chacun des ouvriers ce qui est convenable, jusqu’à ce que ses ordres aient été accomplis.
C’est juste.
N’en résulte-t-il pas que si toutes les sciences de cette sorte sont spéculatives, comme celles qui dépendent du calcul, il y a là cependant deux espèces de sciences qui diffèrent en ce que les unes jugent et les autres commandent ?
Accordé.
Si donc nous divisons la totalité de la science spéculative en deux parties, et que nous nommions l’une science de commandement et l’autre