C’est en effet, le mot en usage.
Eh bien ! tout le monde n’apercevrait-il pas deux espèces dans l’art d’épurer ?
Peut-être bien, en prenant le temps d’y penser ; car pour le moment je ne le vois point.
Cependant il est naturel de comprendre sous un seul et même nom les différentes espèces d’épuration qui se rapportent au corps.
Quelles espèces, et quel nom ?
D’abord, les épurations qui se pratiquent sur le corps des êtres, animés, soit à l’intérieur, comme celles qu’opèrent la gymnastique et la médecine, soit à l’extérieur, comme toutes celles qui se rapportent à l’art du baigneur et ne méritent pas qu’on, s’y arrête ; ensuite les épurations qu’on pratique sur des objets inanimés, par exemple, le lavage, et toutes les opérations de nettoiement qui comprennent une foule de menus soins sous des noms qui ont l’air ridicules.
Soit.