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tête, ils deviennent des gardiens accomplis, plus capables de servir l’État que personne que nous ayons rencontré dans le cours de notre vie.

MÉGILLE.

Mon cher Clinias, après tout ce que nous venons d’entendre, il faut ou abandonner le projet de notre État, ou ne pas laisser aller cet Étranger, mais l’engager au contraire par toutes sortes de moyens et de prières à nous seconder dans cette entreprise.

CLINIAS.

Tu dis très vrai, Mégille : c’est aussi ce que je veux faire ; aide-moi de ton côté.

MÉGILLE.

Je t’aiderai.



FIN DES LOIS.