et dans le second, comme aussi avant πράξεως, dans le dernier endroit ἀδίκου ἀνθρώπου τε καὶ πράξεως. J’ai conservé cette interprétation de Grou. Mais à la réflexion, elle présente des difficultés graves. Dans le dernier endroit, ἀδίκου ἀνθρώπου τε καὶ πράξεως est nécessairement régi par πλεονεκτήσει, d’où il suit qu’il en doit être de même dans le passage précédent, où καὶ τῆς δικαίας πράξεως est intimement lié à τοῦ δικαίου, que régit πλεονεκτεῖν. Enfin, πλεονεκτεῖν veut plutôt dire dans tout ce morceau l’emporter qu’avoir plus de puissance. Sur le fond, voyez Proclus, Comment. sur l’Alcibiade, dans l’édition de Paris, t. III, p. 208.
Ἔφην est évidemment la bonne leçon. C’est le signe d’une pause que fait le même personnage, savoir, Socrate. Mais je n’ai pas jugé nécessaire de l’exprimer dans la traduction.