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le roman d’un rallié

« Cher monsieur Vilaret,

« Après y avoir réfléchi, je me rends à vos raisons et j’accepte de prendre ici votre succession politique. Mon programme sera le même avec les quelques restrictions que je vous ai indiquées. Je vous prie de garder le secret jusqu’à nouvel ordre. Nous nous reverrons à Paris bientôt et nous entendrons sur divers points de détails. Je vous remercie à nouveau d’avoir pensé à moi et vous serre la main très cordialement. »

Et il signa : Crussène.