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INDEX.
- Cantilène.
XXV.
Quelques réflexions et explications. Presque égalité de la femme et du mari. — Du terme de famille : toi qui es à moi. — Les doumiah ou statuettes d’ivoire.
XXVI.
Des amours extra-conjugales. — Le poète Amr fils de Kamiah est provoqué et résiste. — Son oncle Marthad.
XXVII.
Suite. — Les rois Mounzir et Nomân ; leur femme Hind ou Mâwiah, surnommée Moutadjarridah. — Comment elle devint reine. Ses amours avec le poète Mounakkhal leur légende. — Le poète Nâbirah le zoubiânide. — Alkamah fils de Syr.
- Légende de Moutadjarridah ou Hind et de Mounakkhal. — Ariette.
XXVIII.
Amr fils de Hind, roi de Hirah. — Meurtre de son frère. — La femme de Zoràrah à qui avait été confié le frère du roi, est mise à mort ; puis les sept fils du meurtrier. — Prisonniers brûlés, plus un voyageur et une femme. Fierté de cette femme. — Amr assassiné après une humiliation envers une femme appelée Laylah. Amr fils de Koulthoùm.
XXIX.
Suite. — Les nobles familles. — Kazzoùt demandée en mariage par Lakit. Il évite la consommation du mariage. Il disparaît. Retour. — Leçon paternelle. — Kazzoûr, veuve, revient chez son père. — Secondes noces. Souvenir du premier mari. — Du développement intellectuel dans l’Arabie.
XXX.
Des esclaves chanteuses, musiciennes. — Les Grands de Médine demandés par le dernier Tobba dont on a tué le fils. — Ohaïhah ; dévouement de sa chanteuse Mosaïkah. — Solma, femme d’Ohaïhah ; condition qu’elle posa pour son mariage. — Comment Solma quitta son mari et sauva sa tribu.
XXXI.
De la musique ancienne des Arabes. — Les deux chanteuses appelées Djerrâdah Ad ou les cigales des Ad. — Des chanteuses, comme luxe. — Abd Allah et son père Djoudân ; le poète Oméyah fils d’Abou I-Salt. — Abd Allah lui donne ses deux chanteuses.
- Cantilène.
- Abd Allah ; — son père ; ses deux chanteuses.
XXXII.
De la femme esclave. — De la qualité de mère de l’enfant, avant et après l’islamisme ; de la liberté de l’enfant. — Subalternisation de la femme. — La femme comparée à l’homme.
XXXIII.
Relations entre les esprits et les êtres humains. — Les différents esprits, djinn, chaïtan, goùles, etc. — Esclave attrapée par un mazhab. — Goûle du poète Taâbbata Charran. — Une si’lâh mariée à un homme. — Jeune fille reprise à un afrît. — Salomon, roi des esprits. — Djânn le préadamite. — Dives ; péris. — Le grand diable Iblis ; ses cinq fils. — Les hâtef ou voix du ciel. Un jaloux informé par un hâtef. — Jalousie chez les Arabes. — Nouer la branche ou nouer le ratam.
XXXIV.
Des femmes poètes, d’avant l’islamisme. — Omaïmah. Son éloge poétique des Koreïchides et de son frère Abou Sofiân, tués dans les guerres de Fidjâr.
XXXV.
Khansâ, ou la la Camarde, poète. — Elle refuse pour mari le vieux poète Doraid. — Franchise du langage. — La mort de deux frères est le motif principal des vers de Khansâ. — Le poète Khoufâf ; de 264 l’esclave hédjin ou quarteron. — Poètes appelés corbeaux.
XXXVI.
Légende de Khansâ et de ses frères Sakhr et Moâwyah. — Doraid déclare son amour et va demander la main de Khansâ. Épreuve. Satires. — Okâz ; ses solennisés annuelles. — Mort de Moâwyah. — Khoufàf. — Razia. — Présage. — Femme décrivant des cava-