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607
INDEX.
XXIV. 
Cantilène
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XXV. 
Quelques réflexions et explications. Presque égalité de la femme et du mari. — Du terme de famille : toi qui es à moi. — Les doumiah ou statuettes d’ivoire. 
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XXVI. 
Des amours extra-conjugales. — Le poète Amr fils de Kamiah est provoqué et résiste. — Son oncle Marthad. 
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XXVII. 
Suite. — Les rois Mounzir et Nomân ; leur femme Hind ou Mâwiah, surnommée Moutadjarridah. — Comment elle devint reine. Ses amours avec le poète Mounakkhal leur légende. — Le poète Nâbirah le zoubiânide. — Alkamah fils de Syr. 
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XXIV. 
Légende de Moutadjarridah ou Hind et de Mounakkhal. — Ariette
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XXVIII. 
Amr fils de Hind, roi de Hirah. — Meurtre de son frère. — La femme de Zoràrah à qui avait été confié le frère du roi, est mise à mort ; puis les sept fils du meurtrier. — Prisonniers brûlés, plus un voyageur et une femme. Fierté de cette femme. — Amr assassiné après une humiliation envers une femme appelée Laylah. Amr fils de Koulthoùm. 
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XXIX. 
Suite. — Les nobles familles. — Kazzoùt demandée en mariage par Lakit. Il évite la consommation du mariage. Il disparaît. Retour. — Leçon paternelle. — Kazzoûr, veuve, revient chez son père. — Secondes noces. Souvenir du premier mari. — Du développement intellectuel dans l’Arabie. 
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XXX. 
Des esclaves chanteuses, musiciennes. — Les Grands de Médine demandés par le dernier Tobba dont on a tué le fils. — Ohaïhah ; dévouement de sa chanteuse Mosaïkah. — Solma, femme d’Ohaïhah ; condition qu’elle posa pour son mariage. — Comment Solma quitta son mari et sauva sa tribu. 
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XXXI. 
De la musique ancienne des Arabes. — Les deux chanteuses appelées Djerrâdah Ad ou les cigales des Ad. — Des chanteuses, comme luxe. — Abd Allah et son père Djoudân ; le poète Oméyah fils d’Abou I-Salt. — Abd Allah lui donne ses deux chanteuses. 
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XXXI. 
Cantilène
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XXXI. 
Abd Allah ; — son père ; ses deux chanteuses
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XXXII. 
De la femme esclave. — De la qualité de mère de l’enfant, avant et après l’islamisme ; de la liberté de l’enfant. — Subalternisation de la femme. — La femme comparée à l’homme. 
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XXXIII. 
Relations entre les esprits et les êtres humains. — Les différents esprits, djinn, chaïtan, goùles, etc. — Esclave attrapée par un mazhab. — Goûle du poète Taâbbata Charran. — Une si’lâh mariée à un homme. — Jeune fille reprise à un afrît. — Salomon, roi des esprits. — Djânn le préadamite. — Dives ; péris. — Le grand diable Iblis ; ses cinq fils. — Les hâtef ou voix du ciel. Un jaloux informé par un hâtef. — Jalousie chez les Arabes. — Nouer la branche ou nouer le ratam
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XXXIV. 
Des femmes poètes, d’avant l’islamisme. — Omaïmah. Son éloge poétique des Koreïchides et de son frère Abou Sofiân, tués dans les guerres de Fidjâr. 
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XXXV. 
Khansâ, ou la la Camarde, poète. — Elle refuse pour mari le vieux poète Doraid. — Franchise du langage. — La mort de deux frères est le motif principal des vers de Khansâ. — Le poète Khoufâf ; de 264 l’esclave hédjin ou quarteron. — Poètes appelés corbeaux. 
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XXXVI. 
Légende de Khansâ et de ses frères Sakhr et Moâwyah. — Doraid déclare son amour et va demander la main de Khansâ. Épreuve. Satires. — Okâz ; ses solennisés annuelles. — Mort de Moâwyah. — Khoufàf. — Razia. — Présage. — Femme décrivant des cava-