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Voilà mon fils que je vous amène ; avancez, mon fils… » Et puis, néant ! Si ce bonhomme revient, comment nous empêcher de lui rire au nez ?

MLLE DUPRÉ.


Gardons-nous-en bien, ni de faire semblant que cela nous étonne.

MLLE DE L’ÉTANG.


« Voilà mon fils que je vous amène…, avancez mon fils… »

MLLE DUPRÉ.


Ris tant que tu voudras présentement, mais prends ton sérieux, je t’en prie, quand il viendra.

MLLE DE L’ÉTANG.


J’y ferai mon possible, mais je ne réponds de rien.

MLLE DUPRÉ.


Tu serais folle à mettre aux Petites-Maisons. Tout ceci est peut-être de plus grande conséquence