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Cela est vrai, et il y a des temps ou j’en suis très-contente ; mais depuis quelques jours il m’a tellement fatiguée de ses sottes nouvelles, que, , s’il continue encore sur le même ton, je lui donnerai nettement son congé.

MLLE DUPRÉ.


Cela serait un peu violent.

MLLE DE L’ÉTANG.


Tant violent qu’il te plaira ; je n’aime point d’être obsédée. Cela est fort plaisant d’avoir toujours un homme devant soi !


Scène II



M. DE L’ÉTANG, MLLE DE L’ÉTANG, MLLE DUPRÉ.



M. DE L’ÉTANG.


Quelle dispute avez-vous là, que vous me semblez si émues ?

MLLE DUPRÉ.