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VI, W = page f2U. Lire, aux lignes 3 et U de la pensée: mais pour les èlres que définit une nature propres, la force qui les a constitués est en eux et y demeure.

Même pensée, irt note — même page, note U. Lire ainsi la dernière phrase : Dans un outil, ce sera le rapport du principe efficient et formel (aîTi'a), c'est-à-dire de l'artisan de cet objet avec sa matière; ce sera, en d'autres termes, l'idée réalisée par l'ouvrier, la forme donnée à l'outil, et aussi sa cause finale.]

Rétablir ainsi la note suivante:

5. [Coual : « pour les œuvres de la nature. » — On trouvera à la fin de la 2' note à la pensée VI, i4, l'analyse de l'expression rà ùnô j0asu>; awzxo\ivia. Je ne crois pas que çCaew; puisse désigner ici la nature universelle: car la pierre et le bois, et beaucoup d'objels qui ne sont déterminés que par une simple ïÇi; sont aussi des «œuvres de la nature», et si celle qui les a constitués « n'est pas loin » (car elle est partout), on ne peut dire pourtant qu'une force demeure en ces choses informes et inertes. Par les mots Tà îmô çotew; <rJve^ô|ieva, j'entends tout ce qui croît et vit (ôoa çûeTai). la plante, l'animal, l'homme. — Il est d'ailleurs entendu que la « nature propre » d'un être fait partie de la nature universelle et ne saurait lui être opposée.]

Même pensée, 3e note = pages f2U (note 6) et f25. Supprimer les lignes 3 et 4 de la note (« ou du moins... qu'à cette nature »).

VI, 42, lr' note = page f25, note U. Aux 7' et S1' lignes de la note, lire: celles qui concourent solidairement et également à un même effet. « comme deux bœufs attelés à la même charrue, » celles qui ne sont que les auxiliaires d'autres causes, « comme l'homme qui vient, d'un léger effort, diminuer la charge sous laquelle plient deux autres. »

VI, 59. Supprimer la note (page f3f, note 4).

VII, f3 = page f36. Au début de la pensée, écrire en italiques les mots: « unit » et: « associe. »

Même pensée, f" note = même page, note 2. A la fin du fer paragraphe de la note ajouter cette parenthèse: (cf. infra IX, 9, 6' note, les deux conceptions stoïciennes de la sympathie.)

Même pensée, 3' note = page f37. A la 3' ligne des noies de la page, changer xaTaXexTixà>; en xaTaXrpeTix&;.

VII, 50, 2e note = page fU8, note 3. Commencer ainsi le second paragraphe de la note:

M. Couat s'est mépris sur la place de la conjecture de Gataker. Des deux xcù qu'on trouve dans cette pensée, c'est le second, non le premier, que (sans doute pour faire passer Toioctô; Ti;) Gataker a voulu changer en fi. Cette correction était, d'ailleurs, assez mal venue; elle prêtait à l'équivoque, en laissant croire que les deux r, opposaient (comme îfroi... \-, ou comme en latin aut... aut...) deux alternatives qui s'excluent. Or, il est certain que les « éléments insensibles » dont parle Marc-Aurèle, etc.. VII, 66, 5" note = page lb'-