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ADDENDA ET C0RRlGENDA

(TV. B. — Le second manuscrit de M. Coual, dont la découverte devait entraîner la refonte de tout le travail antérieur, n'ayant été retrouvé que longtemps après le premier, lorsque six livres des Pensées étaient déjà composés et prêts à la mise en pages, on a dû donner le bon à tirer de la première moitié de ce volume avant que la seconde fût entièrement rédigée. Ces circonstances malencontreuses expliqueront au lecteur la longueur démesurée de cet Erratum, qu'on s'est efforcé d'abréger, en remplaçant dans la composition antérieure plusieurs cartons et trois feuilles entières.)

I, f7, 3e note — page f7, note 2. A l'antépénultième ligne de la note, au lieu de : En définitive, lire : On voit ici que...

//, f, 2' note = page f9, note f. Ajouter les mots: [que semblent exiger d'abord la division de sens inarquée par la répétition de o\îte (ànéyOeaOai ne s'oppose pas à àpy^eaOai), ensuite les dernières lignes de la pensée.]

//, 2, lrc note — même page, note 3. Ajouter les mots: Cf. aussi infra XI, 33. et la note.]

Même pensée = page 20, ligne 2, lire: Se mouvoir comme une marionnette au gré de ses impulsions, et, en tête des notes de la page, insérer la suivante:

i. [Couat : « se mouvoir capricieusement et céder à des impulsions. » — Sur le sens de vejpoaiiaaTeiaOai, cf. infra VI, 28, et VII, 3, en note. J'ai préféré « ses » à « des », parce que le principe directeur est l'auteur même des sentiments auxquels il s'asservit (cf. IV, 22, en note).]

//, f0, en note = page 23, note 3. A la première et à la seconde lignes du second alinéa, supprimer les mots: et sans compter un passage où j'ai cru pouvoir le rétablir par conjecture (cf. infra VIII, 4i).

//, il — page 2b, ligne 2. Lire : fait en sorte que tous pussent s'en préserver. Cette correction devrait être justifiée au bas de la page par la note suivante:

i. [Couat : « que l'homme pût s'en préserver. » — La leçon de la vulgate, :'va ènt, ncmr„ qu'on croirait traduire en ajoutant le mot « toujours » à la traduction de M. Couat, est fort suspecte, car en?, ne signifie rien. Faut-il lire èÇr, (en ce cas, on pourrait adopter la même traduction), ou, avec Coraï: sm navà ^? Dans cette hypothèse, l'iotacisme suffirait à expliquer la faute des scribes : tout pesé, c'est la correction que j'accepte.]

//, f2, f" note = page 26, note f. Ajouter les mots: comme l'écrit M. Stich, c'était sans doute itapéyouai. Je