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TABLE DES MATIÈRES.
à l’âme raisonnable, XI, 1 : — (deux) qui contribuent au salut de la société, XI, 20.
Vérus (M. Annius), aïeul paternel de Marc-Aurèle ; exemples qu’il lui a donnés, I, 1 : — ses qualités, ses emplois, son père ; dirigea l’éducation de Marc-Auréle, I, 1, N. ; — le bisaïeul de Marc-Aurèle ; sa patrie, sa charge, I, 1, N.
Vérus, Lucius, frère adoptif de Marc-Aurèle, à qui il avait marié sa fille, VIII, 25, N.
Vespasien, événements survenus pendant son règne, IV, 32 ; — le premier de la famille Flavienne, mort quarante et un ans avant la naissance de Marc-Aurèle, IV, 32, N.
Vice (le), pris en général, pris dans l’individu, pris dans un être doué de la faculté de s’en délivrer, VIII, 55 ; — (le) et la vertu chez l’être raisonnable ; en quoi ils consistent, IX, 16.
Vices (les) sont en eux-mêmes des effets de l’ignorance, II, 1.
Vicieux (nécessité de l’existence d’êtres) dans le monde, IX, 42.
Vie (la) est fugitive pour tous les hommes, II, 6 ; — (la) la plus longue et la plus courte reviennent au même, II, 14 ; — (la durée de la) humaine est un point, II, 17 ; — (s’éconduire soi-même de la), c’est le suicide permis par la sagesse stoïcienne, III, 1, N. ; — (la) est surtout soumise à l’opinion, IV, 3 ; — (la) de chaque homme définie, VI, 15 ; — (la) humaine, fragile et de courte durée, VI, 17 ; — son uniformité, VII, 49 ; — (la) de cour, ni celle que tu mènes, ne doit être critiquée par toi, VIII, 9 ; — (chaque portion de notre) comparée à un bain, VIII, 24 ; — mal appréciée par Marc-Aurèle ; le tableau qu’il en trace n’est pas très-juste, VIII, 21, N. ; — (l’autre), attestée nettement par Marc-Aurèle, VIII, 25, N. : — (notre) doit être réglée action par action, VIII, 32 ; — (la) de Marc-Aurèle mise en contraste avec celle de son frère adoptif, Lucius Vérus, IX, 33, N. ; — (la perte de la) n’est qu’un échange, IX, 35 ; — d’un citoyen qui marque chaque pas de son existence par des actions utiles à ses concitoyens, X, 6 ; — (la) humaine n’est qu’un instant imperceptible, XI, 18 ; — (la) comparée à une action qui finit en son temps, XII, 23 ; — (le salut de notre) ; en quoi il consiste, XII, 29 ; — (il n’y a qu’une) universelle, bien qu’elle se partage entre une infinité de natures et de corps séparés, XII, 30 ; — (dans la), trois actes suffisent pour faire que la pièce soit entière, XII, 36.
Vigne (la) qui porte son fruit, comparée à l’homme qui fait le bien, V, 6.
Villes mortes tout entières, IV, 48.
Virgile, son « Dabit deus his quoque finem », cité, V, 23, N.
Visage (un) irrité est contre nature, VII, 14.
Vivre exempt d’attachement et de répugnance pour la vie ; rester indifférent à la longueur ou à la brièveté du temps, pendant lequel l’âme sera enveloppée du corps ; c’est le bien suprême de celui qui met au premier rang son intelligence, III, 7 ; — (projet de) bien durant cette vie, V, 29 ; — selon la loi de ta nature, VI, 58 : — comme si déjà tu étais mort, VII, 56 ; — (manière de),