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TABLE DES MATIÈRES.
ciété universelle doit être le but de notre vie, XI, 21 et passim.

V

Valeur (la) de chaque homme est en raison de celle des objets qu’il affectionne, VII, 3 ; — (mince) de ces politiques, qui prétendent régler les affaires sur les maximes de la philosophie, IX, 29.
Vanité de ceux qui s’imaginent nuire aux autres par leurs critiques, ou les servir par leurs louanges, IX, 34.
Variante proposée par quelques éditeurs, dans le texte de Marc-Aurèle, IV, 18, N.
Vélius Rufus, cité par Man-Aurèle, XII, 27.
Vent (le) jette à terre les feuilles des bois, vers cités par Marc-Aurèle, et tirés de l’Iliade d’Homère, X, 34, N.
Vérité (la), la justice, la tempérance, le courage, sont les quatre parties de la vertu, dans la doctrine platonicienne, III, 6, N. ; — à laquelle il faut recourir à chaque événement qui peut provoquer notre tristesse, IV, 49 ; — (la) n’a jamais nui à personne ; il faut la chercher sans cesse, VI, 21 ; — la cultiver est la seule chose qui soit digne d’occuper nos pensées, VI, 47 ; — qu’il faut toujours avoir devant les yeux, sur la ressemblance et l’uniformité des choses, X, 23 ; — (la), la justice, la sagesse, définies, XII, 15, N.
Vérités (seules) utiles à connaître, II, 3 ; — (deux) qu’il faut se rappeler sans cesse, au sujet du passé et de l’avenir, II, 14 ; — (deux) à ajouter entre les plus usuelles, IV, 3 ; — (deux) desquelles il faut se souvenir toujours, à chaque événement de la vie, VII, 58 ; — éclatantes, sur l’organisation physique et morale de l’homme, voilées pour un instant, ne reparaîtront parmi nous que plus puissantes et plus belles, X, 26, N.
Vers plat et ridicule, dans la comédie dont Chrysippe a parlé ; rang qu’il y occupe, VI, 42 et N.
Vert, dès le temps de Marc-Aurèle, on avait remarqué que la couleur verte fatigue le moins la vue, X, 35, N.
Verts (les) et les Bleus ; origine de ces factions ; leur rôle politique. I, 5, N.
Vertu louée par Marc-Aurèle dans sa mère, I, 3, et III, 4, N. ; — ses quatre parties essentielles, selon Socrate, V, 12, N. ; — en quoi elle consiste, V, 15, N. ; — (la) que le Stoïcisme a surtout apprise à l’homme, c’est la soumission à la volonté divine, VI, 16, N. ; — son mouvement, sa route, VI, 17 ; — opposée à la volupté, VIII, 39 ; — (la) et le vice chez l’être raisonnable ; en quoi ils consistent, IX, 16 ; — une de ses premières conditions, XII, 1, N.
Vertus que Marc-Aurèle attribue à sa mère et qu’il a lui-même le mieux pratiquées, I, 3, N. ; — dont la pratique est le caractère propre de la nature humaine, IV, 49 ; — qui sont en notre pouvoir, V, 5 ; — dans lesquelles il y a un attrait supérieur, V, 9 ; — qui doivent toujours nous être présentes, quand on veut se donner le plaisir de se rappeler ses amis, VI, 48 : — dont l’âme est privée malgré elle, VII, 43 ; — propres