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TABLE DES MATIÈRES.
hommes ne peuvent ni souffrir l’abstinence, ni jouir sans en abuser, I, 17 ; — a sanctionné de son admirable exemple cette forte maxime : Mourir sans murmures, II, 3, N. ; — sa pensée sur la mort est la même que celle de Marc-Aurèle, II, 11, N. ; — son admiration pour le précepte de l’oracle de Delphes : Connais-toi toi-même, II, 13, N. ; — tué par une autre sorte de vermine que celle dont mourut Démocrite, III, 3 ; — cité sur le combat de la vie, III, 4, N. ; — ses paroles citées sur le génie qui habite en nous, III, 6 ; — sculpteur de son métier ; son mince talent lui donnait tout juste ce qu’il fallait pour vivre ; sa pauvreté, IV, 31, N. ; — établit comme un principe inébranlable qu’il ne faut jamais faire mal, sous quelque prétexte que ce puisse être, même au prix de la vie, V, 31, N. ; — dans le Criton, ne fait pas plus de compte de l’opinion vulgaire, quand il s’agit du devoir, que ne le conseille une des pensées de Marc-Aurèle, VI, 2, N. ; — (la foi de) que Platon a exprimée dans le Criton et dans le Phédon est celle de Marc-Aurèle, VI, 10, N. ; — cité par Marc-Aurèle comme orateur éloquent et philosophe vénérable, VI, 47 ; — (le génie, le démon de), c’est sa conscience, VII, 17, N. ; — (le nombre des hommes comparables à) n’est jamais aussi grand que Marc-Aurèle peut sembler le croire, VII, 19, N. ; — cité sur le sens dans lequel il entendait cette expression : « Le combat de la vie est le plus beau des combats », VII, 61, N. ; — rappelle lui-même dans son Apologie les principales actions, auxquelles Marc-Aurèle fait allusion, et où il a montré tant de courage, et tant de vertu de tout genre, VII, 65, N. ; — qualités qu’il faut examiner en lui, VII, 66 ; — sa méthode ; sa résignation, VII, 66, N. ; — Diogène, Héraclite, opposés à Alexandre, César, Pompée, VIII, 3 ; — ceci ne veut pas dire que Marc-Aurèle mette ces philosophes sur la même ligne, ib., N. ; — cité sur la véritable forteresse morale qu’il possédait dans sa conscience, quand il démontrait l’immortalité de l’âme après avoir bu la ciguë, VIII, 48, N. ; — un des motifs qui le consolent le plus sérieusement de sa mort, IX, 3, N. ; — cité sur la manière dont il a compris le rôle de la philosophie, IX, 19, N. : — et Jésus-Christ, leur destin, X, 15, N. ; — avant l’École stoïcienne, avait recommandé la fermeté de l’âme qui s’élève au-dessus de l’opinion, XI, 16, N. ; — noms qu’il donnait par raillerie aux superstitions du vulgaire, XI, 23 ; — dans le Criton, dédaigne l’opinion du vulgaire, mais ce n’est pas en fait de croyances religieuses, XI, 23, N. ; — sa réponse au reproche de Perdiccas, de ne vouloir pas dîner chez lui, XI, 25 ; — sa résignation lorsque sa femme Xanthippe, étant sortie, avait emporté son manteau, XI, 28 ; — trait de sa vie qui n’est connu que par le témoignage de Marc-Aurèle, XI, 28, N. ; — son argumentation sur les différentes âmes que l’homme peut posséder, XI, 39 ; — son profond dédain pour tout ce qui est extérieur, XII, 2, N. ; — (combien y en a-t-il de) au moment de la mort, XII, 31, N.
Sœur de Marc-Aurèle, s’appelait Annia Cornificia, I, 17, N.