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TABLE DES MATIÈRES.

Sénat (conseil sur la façon de parler dans le), VIII, 32, N.
Sénèque, cité sur l’égalité d’âme, II, 1, N. : — cité sur la vie éternelle, II, 4, N. ; — cité sur la puissance de l’imagination, II, 15, N. ; — cité sur l’obéissance à Dieu, II, 16, N. ; — cité sur les bienfaits de la philosophie, II, 17, N. ; — cité sur le suicide, III, 1, N. ; — cité sur les plaisirs de la science, III, 2, N. ; — cité sur la présence de Dieu en nous, III, 4, N. ; — cité sur la pensée de la mort, III, 8, N. ; — cité sur la nature et sur Dieu, III, 9, N. ; — cité sur Dieu, la première des causes, III, 11, N. ; — cité sur la présence de Dieu dans l’homme, IV, 1, N. ; — cité sur les deux républiques, IV, 4, N. ; — cité sur l’action de Dieu dans l’univers, IV, 13, N. ; — ses deux traités, le Repos du sage et la Tranquillité de l’àâme, IV, 25, N. ; — cité sur la résignation en face de la mort, IV, 48, N. ; — a su mourir avec un courage inébranlable, quoique sa conscience ne fut peut-être pas absolument tranquille à ce moment suprême, IV, 49, N. ; — cité sur l’amour et le mépris de la vie, IV, 50, N. ; — cité sur la cause du monde, V, 8, N. ; — cité sur la manière de vivre, V, 11, N. ; — Préface de ses Questions naturelles, citée V, 32, N. ; — cité sur la sensation, V, 26, N. ; — cité sur la doctrine de l’émanation, V, 27, N. ; — cité sur la considération des choses, VI, 3, N. ; — cité sur l’estime que nous avons de nous-mêmes, VI, 16, N. ; — se sert fréquemment, avant Marc-Aurèle, d’une expression employée par celui-ci, et qui a une apparence chrétienne, VI, 28, N. ; — cité sur le respect dû à la vertu des grands hommes, VI, 48, N. ; — cité sur la dernière heure, VII, 18, N. ; — son traité de la Clémence et celui des Bienfaits, cités sur le pardon des offenses, VII, 22, N. ; — n’a jamais hésité à affirmer l’immortalité de l’âme, VII, 59, N. ; — cité sur la brièveté nécessaire de la vie, VIII, 2, N. ; — cité sur l’ingratitude et les bienfaits, VIII, 8, N. ; — la Préface de ses Questions naturelles, citée sur la haute idée que le Stoïcisme s’était faite de la nature, de l’univers et de Dieu, VIII, 26, N. ; — cité sur le premier rapport de nos sens quand un soudain malheur vient nous frapper, VIII, 49, N. ; — cité sur l’intelligence répandue dans l’univers et que notre raison respire en quelque sorte, VIII, 54, N. ; — (solution à laquelle incline le stoïcisme de) comme Marc-Aurèle, VIII, 58, N. ; — cité sur l’accueil qu’on doit faire à la mort ; langage qu’il prête à Dieu lui-même, IX, 3, N. ; — cité sur une multitude d’actes que nous dicte la raison, IX, 10, N. ; — cité sur la résignation à la destinée, IX, 17, N. ; — cité sur le terme de la vie entière, IX, 21, N. ; — cité sur les souffrances de la vie, ses conseils au nom même de Dieu, IX, 26, N. ; — cité sur la grandeur de l’homme, IX, 34, N. ; — cité sur la souffrance, IX, 35, N. ; — cité sur le sens qu’on doit donner à ses prières, IX, 40, N. ; — cité sur la mort d’Épicure, IX, 41, N. ; — cité sur l’image de la vie, X, 34, N. ; — cité sur l’âme prête à quitter la vie, XI, 3, N. ; — cité sur les nobles études de l’homme, XI, 5, N. ; — cité sur la définition du mot Indifférent, XI, 10, N. ; — Traité de la Tranquillité