Page:Pensées de Marc-Aurèle, trad. Barthélemy-Saint-Hilaire.djvu/522

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
500
TABLE DES MATIÈRES.
moins, pour nous aider à ne pas la craindre, IV, 1 ; — (la), sa définition, VI, 28 ; — (réflexion sur la), et définition, VII, 32 ; — moyens par lesquels on essaie de la détourner, VII, 51 ; — (ce qui est) se dissout dans ses éléments propres, VIII, 17 ; — la craindre, ce que c’est, VIII, 58 ; — (la) est une fonction de la nature, IX, 3 ; — prématurée ; mort dans un âge avancé, IX, 33 ; — (la) définie, XII, 23, N. ; — (la) regardée par les Épicuriens comme l’anéantissement total de l’être, XII, 34, N. ; — (mépris de la) ; ce qui peut surtout nous y exciter, XII, 34.
Mortels (race des), comparée aux feuilles des bois, X, 34.
Morts (les) seraient-ils immortels ? VIII, 37.
Mot, sensé et noble, de Théophraste, sur les fautes que l’homme peut commettre, II, 10 ; — très-court, qui suffit à l’homme d’esprit, pour lui faire bannir la tristesse et la crainte, X, 34 ; — d’Épictète, sur le père qui embrasse son fils, XI, 34 ; — d’Épictète, sur le ravissement de notre libre volonté, XI, 36.
Motifs (un des) qui consolent le plus sérieusement Socrate de sa mort, IX, 3, N. : — de pardon et de tolérance, IX, 42, N.
Mots qui ont différentes significations, III, 15.
Mouche (une)… un lièvre… des Sarmates… épigramme sanglante dans la bouche d’un empereur faisant la guerre aux Barbares, X, 10, N.
Mourir sans murmures, forte maxime, que Socrate a sanctionnée de son admirable exemple, II, 3, N. ; — (qu’est-ce que) ? solution de cette question par la philosophie et par la religion, II, 12, N. ; — dans un grand nombre d’années, ou demain, doit nous être de peu d’importance, IV, 47 ; — est une des fonctions de la vie, VI, 2.
Mouvement (le propre du), qui part de la raison et de l’intelligence, VII, 55 ; — (le) d’une flèche et celui de l’esprit mis en parallèle, VIII, 60.
Mouvements (les) du monde sont des cercles, IX, 28.
Moyen trivial, efficace néanmoins, pour s’aider à mépriser la mort, IV, 1 ; — de satisfaire les vœux de l’univers, VI, 10 ; — de devenir homme de bien, XI, 5.
Moyens par lesquels les Dieux viennent au secours des hommes, pour leur faire posséder les biens qui sont l’objet de leurs soins, IX, 27.
Mystères (les solennels) de la puissance intime de l’âme ; explication des excès où le mysticisme se laisse emporter, III, 7, N. ; — de la nature, IV, 5 ; — nécessaires à contempler, malgré le voile qui les dérobe à nos regards, X, 26.

N

Naissance (la) est un mystère de la nature, IV, 5 ; — des êtres est l’effet d’un éternel dessein de la Providence, IX, 1.
Nature (toujours considérer la) de l’ensemble des choses ; pensée juste et profonde, sagement recommandée à l’homme, II, 9, N. ; — (la) contient, dans ses parties, les natures de chacun des êtres, II, 16 ; — (la) est forcée d’agir