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TABLE DES MATIÈRES.

Hâter (se), signification de ce mot, III, 1, N.
Hélice, ville qui est disparue. IV, 48 ; — ville d’Achaïe, dans le Péloponnèse, qu’il ne faut pas confondre avec une autre ville de même nom, en Thessalie ; époque où elle fut submergée par la mer, IV, 48, N.
Helvidius Priscus, gendre de Thraséas, digne de son beau-père, I, 14, N.
Héraclite, après avoir pénétré les secrets de la nature, est mort d’hydropisie, le corps enfoncé dans de la fiente de vache, III,3 ; — son opinion sur l’origine du monde, imagina un remède pour sa maladie, mourut à soixante ans, III, 3, N. ; — sa doctrine sur la mort des éléments, IV, 46 ; — (sentence d’) d’après une citation de Clément d’Alexandrie ; Héraclite aurait emprunté lui-même cette pensée à Orphée, IV, 66, N. ; — ses fragments cités, est un des premiers qui aient reconnu et proclamé l’harmonie de l’univers et son unité admirable, V, 42, N. ; — cité par Marc-Aurèle comme orateur éloquent, philosophe vénérable, VI, 47 ; — Diogène, Socrate, opposés à Alexandre, César et Pompée, VIII, 3 ; — ceci ne veut pas dire que Marc-Aurèle mette ces philosophes sur la même ligne, ib, N. ; — cité pour son système sur le feu, auquel Marc-Aurèle fait allusion, X, 7, N.
Herculanum, ville disparue, IV, 48 ; — (catastrophe d’) et de Pompéi, est à un siècle de distance, quand Marc-Aurèle écrit ses Pensées ; découvertes qu’on y fait tous les jours, IV, 48, N.
Hésiode, vers cités de son poëme : « les Œuvres et les Jours, » V, 33, N.
Hipparque, cité par Marc-Aurèle pour ses connaissances merveilleuses, VI, 47.
Hippocrate, après avoir guéri bien des malades, n’a pu échapper à la mort, III, 3.
Histoires (les) des vieux temps, celles des époques intermédiaires, celles des temps modernes, sont uniformément remplies des mêmes choses, VII, 1.
Histrion (un) suffit à nous distraire, allusion probable de Marc-Aurèle à quelque détail de sa vie intime, X, 9, N.
Homère dans l’Odyssée, expressions qu’il emploie et dont Marc-Aurèle se sert aussi, IV, 33, N. ; — (dans l’Iliade d’) se trouve une comparaison toute pareille à celle que Marc-Aurèle emploie, IV, 49, N. ; — (mots d’) empruntés par Marc-Aurèle à l’Odyssée, V, 31, N. ; — vers de l’Odyssée, cité par Marc-Aurèle, XI, 31, N.
Hommage désintéressé que rendit à Marc-Aurèle, après sa mort, la reconnaissance d’un grand peuple, IV, 3, N.
Homme (l’) est malheureux, s’il n’étudie pas les mouvements de son âme, II, 8 ; — (l’), sa définition, son devoir, II, 9, N. ; — (comment l’) entre-t-il en rapport avec Dieu, Marc-Aurèle n’a pas le moindre doute sur l’immortalité de l’âme, bien qu’il ne voie pas par quelle partie de son être l’homme peut entrer en communication avec l’être infini, II, 12, N. ; — (l’) qui aura contracté avec la nature et ses œuvres une intime familiarité, les envisagera avec