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TABLE DES MATIÈRES.
hommes trouvent dans des choses, qu’il est trop dur de ne pas leur permettre, VI, 27.
Corps (dans le monde des), rien n’est stable, II, 17 ; — (le) a les sensations, III, 16 ; — (les) se dissolvent, et font place à d’autres cadavres, IV, 21 ; — (le) ne peut rien discerner, VI, 32 ; — (le) doit prendre soin que rien ne le blesse, VII, 16 ; — (tous les) passent, entraînés par la matière de l’univers ; leur nature, VII, 19 ; — (quel doit être le maintien du), VII, 60 ; — soin qu’en avait pris l’école cynique et l’école stoïcienne, VII, 60, N. ; — (un vaste et unique), définition de ce mot, IX, 39, N. ; — ce qu’il a reçu en lui à l’instant de la naissance, X, 7 ; — (le) et ses organes, comparés à une doloire, X, 38 ; — tout ce qu’il y a d’igné dans sa composition obéit à la disposition du tout, XI, 20 ; — est une des trois choses qui nous constituent, XII, 3.
Corruption (la) subit le changement, XII, 21.
Cosmologie de l’école stoïcienne, qui a toujours soutenu l’unité de matière sous la variété infinie des transformations, VII, 23, N.
Cosmos, sens de ce mot en grec, VII, 9, N.
Cour (la), comparée à une belle-mère, VI, 12 ; — (la) et la philosophie ; sens dans lequel il faut entendre ce mot : la Cour, VI, 12, N. ; — (la) d’Auguste, citée par Marc-Aurèle, parce qu’elle était fort nombreuse, comme le prouve l’énumération seule qu’il en fait, VIII, 31, N.
Courage (le), la justice, la vérité, la tempérance, sont les quatre parties de la vertu dans la doctrine platonicienne, III, 6, N. : — la justice, le courage, la sagesse et la tempérance sont les quatre parties essentielles de la vertu, selon Socrate, V, 12, N.
Cours (les) des rois ont toujours été les mêmes, seulement avec d’autres acteurs, X, 27.
Cours (le) non interrompu du temps, comparé avec les écoulements et les altérations des êtres, VI, 15.
Course (notre) dans cette vie, notre fin, notre commencement, dirigés par la nature vers un seul but, VIII, 20.
Cousin (M. Victor) ; sa traduction du Phédon de Platon, et de l’Apologie, citée, II, 11, N. ; — sa traduction du Phèdre, citée, II, 13, N. ; — sa traduction du Criton, de Platon, citée sur cette pensée qu’il ne faut dire ou faire aucun mal à personne, V, 31, N. ; — sa traduction du Timée, de Platon, citée, VI, I, N. ; — sa traduction du Criton, citée, VI, 2, N. ; — sa traduction des Lois, de Platon, citée, VI, 44, N. ; — sa traduction de l’Apologie de Socrate, par Platon, citée, VII, 44 et 45, N. ; — sa traduction du Phédon, de Platon, citée, VII, 56, N. ; — sa traduction du Gorgias, de Platon, citée, VII, 46, N. ; — sa traduction du Protagoras, citée, VII, 63, N. ; — sa traduction du Phédon, de Platon, citée, VIII, 58, N. ; sa traduction du Phédon, citée, IX, 3, N. ; — sa traduction du Théétète, citée, X, 23, N. ; — sa traduction du Criton et du Phédon, citée, XI, 19, N. ; — sa traduction du Criton et du Phèdre, citée, XI, 23, N.