Page:Pensées de Marc-Aurèle, trad. Barthélemy-Saint-Hilaire.djvu/500

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
478
TABLE DES MATIÈRES.
Marc-Aurèle « post mortem », IV, 3, N.
Comédie ancienne, utilité de son invention, XI, 6 ; — moyenne, son invention, XI, 6 ; — nouvelle, son invention, sa transformation en une imitation ingénieuse, XI, 6.
Comédien (le) congédié du théâtre et se plaignant de n’avoir point joué ses cinq actes, XII, 36.
Commandement moral en nous, VI, 8.
Commencement (notre), notre fin, notre course dans cette vie, dirigés par la nature vers un seul et même but, VIII, 20 ; — bien vil, admirable fin de la production du corps de l’enfant, X, 26.
Commentaire manifeste de l’Évocation des morts, dans l’Odyssée d’Homère, IX, 24.
Commode, fils et successeur de Marc-Aurèle, III, 16, N.
Communauté, sens dans lequel il faut entendre cette expression, V, 35, N. ; — sens dans lequel il faut entendre ce mot, VI, 7, N. ; — sens dans lequel il faut entendre ce mot, VI, 30, N. ; — qui est l’objet de tous les soins des Dieux, VI, 41 ; — (l’intérêt de la), sens dans lequel il faut entendre cette expression, VII, 55, N. ; — (des actes utiles à la), sens dans lequel il faut entendre ce mot ; sa définition, VIII, 12, N. ; — définition de ce mot, X, 24, N. ; — définition de ce mot, XI, 4, N. ; — définition de ce mot, XI. 19, N. ; — définition de ce mot, XII, 20, N. ; — ce mot pris dans le sens habituel où le prend Marc-Aurèle, XII, 23, N. ; — d’intelligence, définition de cette pensée, XII, 20, N.
Comparaison des fautes de concupiscence et de celles de colère, II, 10 ; — de l’univers avec une cité bien gouvernée, II, 16 ; — de l’homme à un monde bien réglé, IV, 27 ; — du monde avec un animal composé d’une seule matière et d’une âme unique, IV, 11 ; — de l’homme qui part de la vie, avec l’olive mûre qui tombe en bénissant la terre, sa nourrice, IV, 48 ; — de l’homme qui fait le bien, avec la vigne qui porte son fruit, V, 6 ; — de la belle-mère et de la mère, avec la cour et la philosophie, VI, 12 ; — des écoulements, des altérations des êtres, avec le cours non interrompu du temps, VI, 15 ; — du rapport d’union qu’ont entre eux les membres du corps, avec celui qu’ont entre eux les êtres raisonnables, VII, 13 ; — (la) des dunes de sable, qui peut également s’appliquer aux vaines opinions des hommes et à la vaine gloire, VII, 34, N.; — de la nature raisonnable, avec la feuille qui n’est qu’une partie de la plante, VIII, 7 ; — de la nature, qui a dirigé vers un seul but, et notre fin, et notre commencement, et notre course dans cette vie, avec le joueur qui dirige sa balle ; — (autre), de la bulle d’eau avec la lampe, VIII, 20, — d’un bain avec chaque portion de notre vie, et chaque objet qui tombe sous nos sens, VIII, 24 ; — de l’air que nous respirons et de l’intelligence répandue dans l’univers, que notre raison peut respirer en quelque sorte, VIII, 54 ; — d’un rayon de soleil à l’âme, VIII, 57 ; — des, parties du corps, faites dans un certain but, avec l’homme, né pour faire le bien, IX, 42; — de l’homme qui s’afflige ou se