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TABLE DES MATIÈRES.

Altération de tout ce que nous voyons. IX, 33.
Altérations (les), les écoulements des êtres, comparés au cours non interrompu du temps, VI, 15.
Ambitieux (l’). En quoi il fait consister son bien, VI, 51.
Âme (l’) se couvre d’ignominie en plaçant sa félicité dans l’âme des autres, II, 6 ; — (ô mon). Un des rares mouvements d’éloquence pathétique que se soit permis Marc-Aurèle, pour se faire un reproche à lui-même, II, 6, N. ; — (l’) de l’homme, comment elle se couvre d’opprobre, II, 16 ; — (l’) est un tourbillon, II, 17 ; — (sérénité de l’), où elle se trouve, III, 5 ; — (l’) animale a les passions, III, 16 ; — (l’) est la retraite la plus tranquille, la moins troublée par les affaires, IV, 3 ; — (conserver la sérénité de son), en vue de quelle cause, IV, 25 et 26, N. ; — (l’) d’un tyran, conseils adressés à plus d’un empereur, despote, brute ou bête féroce, V, 11, N. ; — (l’) prend la couleur de nos pensées, V, 16 ; — (l’) se meut elle-même, V, 19 ; — (l’) doit rester insensible à tout mouvement de la chair, V, 26 ; — (l’) cultivée et raisonnable, définie, V, 32 ; — (l’) succombant avant le corps ; c’est une honte, VI, 29 ; — (l’) effrayée, affligée, ne doit pas être blessée, VII, 16 ; — (l’), la séparation de l’âme et du corps durant la vie, est déjà une doctrine platonicienne, VII, 16, N. ; — (l’) raisonnable, définition de sa nature, VII, 28 ; — (l’) selon le philosophe, n’est privée de la vérité que malgré elle, VII, 63 ; — (pour savoir ce qu’était réellement l’) de Socrate, il faut lui appliquer sa propre méthode, VII, 66, N. ; — (l’) comparée au Sphærus. Ce vers d’Empédocle est encore cité par Marc-Aurèle plus loin, VIII, 41, N. et XII, 3 ; — (l’) de chaque homme a son domaine propre, VIII, 56 ; — (l’) comparée à un rayon de soleil, VIII, 57 ; — (une seule et même) a été distribuée entre les animaux sans raison, et une seule et même âme a été partagée entre les êtres raisonnables, IX, 8 ; — (l’) exposée à des reproches, IX, 39 ; — (l’) questionnée sur le contentement qu’elle doit avoir de sa condition présente et future, X, 1 ; — (ô mon). Tournure que Marc-Aurèle le premier a peut-être employée, X, 1, N. ; — (l’). Examen capable de la grandir et de la détacher du corps, X, 11 ; — (l’) se matérialisant, X, 21 ; — (l’), sa facilité à passer à travers toutes choses, X, 33 ; — (l’) raisonnable, ses propriétés, XI, 1 ; — (l’analyse de l’), de Marc-Aurèle, est un résumé des doctrines antérieures, et particulièrement de la doctrine platonicienne, XI, 1, N. ; — (l’), pouvoir qu’elle possède, XI, 16 ; — (l’) ne se prive que malgré elle de la vérité, XI, 18 ; — (l’) prise pour la vie, au sortir du sein de la mère, XII, 24, N. ; — (une seule) intelligente, c’est le panthéisme, dont l’école stoïcienne n’a pas su se défendre, XII, 30, N. ; — (l’) toujours prête à s’éteindre, à se dissiper, ou à subsister encore, par le seul effet de son propre jugement réfléchi, XI, 3 ; — (l’) comment elle déserte son poste, XI, 20 ; — (l’) raisonnable de chacun de nous est un Dieu, un génie divin, XII, 26 ; — (il n’y a qu’une) intelligente dans le monde en-