Page:Pelletier - Oeuvres diverses.pdf/49

Cette page n’a pas encore été corrigée

porte, et, regard de ses avantages, certains 0 ép>fi. Y EU l Ut g CS <‘l tOUte Ll (f!(OStiOSI est de sa- voir si îft somme des uns 1 emiMUie sur la somme des autres, 1 t peut çi.re plaisant pour un voyageur qui inn court la P.reîagno de voir ces costumas archaïques. ces coûtes féminines qui changent avec chaque région : mais, pour 1 habitant, il n’y a qu’une vie mo¬ notone et triste au sein de la malpropreté, de l’ignorance et de ralcoolisme.

Rendre îa vie plus connu ai. . plus large, plus intéressante plus h-’urcuse. si possible plus longue, tel doit être le but : lord ce qui ne tend pas vers cette Un d< <* roieter. Le progrès doit eue accepte avec plaisir, quel¬ que soit le lieu où vit sou promoteur. Le pn>>v a ngraud i fa \ ie ’t ms Itiiuristos oui tort de vouloir le rejeter d’un bloc ; ils ne font ainsi que borner l’existence en l’ampu¬ tant (les souvenirs. Mais le passé ne doit pas entraver ! avenir ; ou peut voir avec p aisir une vieille maison contemporaine d hommes disparus depuis longtemps sans la vouloir habiter et motus encore en faire bâtir uri H

pareille pour son usage.

Mais U nu faut pas espérer que Ihumanné puisse se libérer ainsi d emblée de ses préju¬ gés. Le cerveau humain n’est pas souple : i> fonctionne dans la routine et quand on lent’ do changer, l’homme est perdu.

LYdnpi.it m de i Kspi’c;i i:o> et’inné iunguc

auxiliaire iriterp&tmmi e v,, raH un bon pas ou a yu.nl dans lu ne du m ogres. . !. bspi - y an ta rendrait les services que rendait autre¬ fois le latin et il lus rendrait beaucoup mieux, cor sa connaissance, an heu d vire restreinte aux sert-s intellectuels. serait étendue à tout le monde. .Mais ii lundi ait l’enseigner dans les écoles, en mémo temps eue la longue maternelle.