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— IX —


M. C. ALEXANPRE

MBMBRB DB L’iNSTITUT.

Paris , le 21 avril 1858.

Monsieur,

J’ai reçu l’ouvrage dont vous avez eu la bonté de m*adresser un exemplaire. Je n’ai pu qu’en parcourir bien rapidement quelques pages , étant occupé en ce moment des préparatifs de mon départ pour ma tournée annuelle d’inspection. J’avais plusieurs fois remarqué, Monsieur, dans un journal de l’instruction publique, de fort bons articles signés de vous sur certains détails du Dictionnaire de l’Académie. Je suis bien aise de voir que vous donniez suite à ces travaux, et je crois qu’ils peuvent être fort utiles pour l’étude approfondie de notre langue.

Agréez , Monsieur, l’assurance de ma parfaite considération.

G. Alsxandm.

M. Alfred MAURY

MBMBRt DB L’INSTITUT.

Paiis» ce 2 mai 1868.

Monsieur,

J’ai lu avec intérêt l’opuscule intitulé Remarques sur le Dictionnaire de V Académie française , que vous avez eu l’amabilité de m’ofirir. Plusieurs de vos critiques m’ont paru fondées, et pour celles qui ne le semblent pas autant, il y a lieu à examen , et vous avez bien fait d’attirer sur ces points l’attention. La lecture de votre travail profitera à ceux qui ont besoin d’écrire correctement le français, c’est-à-dire à tous ceux qui le parlent.

Veuillez donc agréer mes sincères remerciements et croire à mon entier dévouement.

Alfbed Madiit.

S. ÉM. M^ LE CARDINAL MORLOT

ARCHIVftQUB DB PARI9.

Paris, le 19 juin 1858.

Monsieur,

Je n’ai pu encore que parcourir bien rapidement votre ouvrage sur le Dictionnaire de l’Académie. C’est une lecture qu’on ne voudrait plus interrompre dès qu’on l’a commencée ; malheureusement le temps me manque pour cela comme pour beaucoup d’autres choses; Seulement je reviendrai le plus fréquemment possible à vos Remarques, si judicieuses, si intéressantes et si utiles. Je n’ai pas voulu différer plus longtemps de vous adresser mille remercîments pour ce service rendu et pour la bonté que vous avez eue de m’adresser un exemplaire de ce nouvel ouvrage, fruit d’études et d’observations qu’on ne saurait trop apprécier.

Veuillez recevoir, Monsieur, l’assurance de mes sentiments très-reconnaissants et dévoués.

f F. N. , Card, , archev. de Paris.


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