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la beauté de la saison prête à ce pays un charme qui sans doute n’y était pas alors ; puis le mieux n’est-il pas de vous écrire simplement mes impressions ? Et comme Amélie vient de raconter les détails de notre voyage, il ne m’est resté que la partie des généralités. J’aimerais bien mieux vous entretenir de nos affaires, mais comment le faire sans nouvelles ?’ Cette privation gâte un peu le plaisir de notre voyage; en songeant aux soucis de l’un, à la solitude de l’autre, je me reproche de ne pas partager avec vous ces mois de repos.

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