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dame votre mère. Cette nouvelle m’a été vraiment douloureuse, par toute la peine qu’elle a dû vous causer, et que j’ai pu mesurer par les sacrifices de plus d’un genre que je vous ai vus faire à cette grande affection, à ce grand devoir. Vous voilà plus libre ; quand vous pourrez me revenir, vous me retrouverez. Dites-moi ce que vous faites, vos travaux, vos affaires, et l’état de la bonne cause philosophique à Lyon.
Mille amitiés de cœur.
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