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ments.Ne voilà-t-il pas qu’il se croit un grand homme pour faire le palais! Heureusement l’année s’avance, et j’espère que notre ami ne tombera pas en récidive ; faites vos efforts pour le sauver de sa paresseuse humilité. Présentez mes respects, je vous prie, à M. Bailly. Si vous voyez M. de Kerguelen, chargez-le de dire deux mots d’amitié pour moi aux petits apprentis Marius et Blondeau. Ici tous vos amis vous demeurent très-tendrement attachés mettez au premier rang

Votre dévoué.