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CE N’EST DONC RIEN…
Ce n’est donc rien, sous l’œil des astres innombrables,
Ton chaud visage avec la liqueur du regard ?
Ce n’est donc rien, l’émail du rire désirable,
Qui fait surgir en nous de suaves égards ?
Ce n’est donc rien, ton corps de bronze pâle et d’ambre,
Ton équilibre droit et le cœur au côté ?
Ce n’est rien, la structure onduleuse des membres
Dont l’éclat tout d’abord prime la volupté ?