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lui plaît. Mais comment t’appelles-tu ?

— Phrosine.

— Ah ! tu t’appelles Phrosine. Eh bien ! viens jouer avec moi.

— Et ma mère, qu’est-ce qu’elle dira si elle ne me voit pas redescendre ?

— Lapierre ira lui dire, de la part de maman, que tu restes avec moi.

Il n’y avait pas moyen de résister à de si douces instances ; et la petite Phrosine était déjà installée depuis long-temps dans la chambre d’Henriette, et berçait la poupée, lorsque mademoi-