Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
CHAPITRE XXXVII
PACOTILLE D’ASSORTIMENTS
Le soulagement du cœur est le meilleur de tous les remèdes quand les souffrances du cœur ont été cause d’une maladie : aussi Monrose fit-il de rapides progrès vers la santé. Tout vint à la fois comme par enchantement au secours de cette âme brûlante d’amour et d’amitié.
Salizy (cette femme à tête chaude qui d’abord craint de mourir de sa belle passion pour mon ensorcelant neveu) venait pourtant de s’enticher, à Londres, de certain virtuose émérite… très-aimable, mais de la part duquel il ne fallait pas attendre des preuves de valeur guerrière… C’était Géronimo[1] Fiorelli,
- ↑ Voyez depuis le chapitre XVIII, seconde partie des Fre-
18.