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MONROSE


jeté, bien malgré moi, dans le tourbillon ; mon état devenait par degrés un voluptueux supplice quand on se leva, fort à propos, car on ne sait ce que, plus longue, la séance aurait pu devenir, tant chacun s’était haut monté selon son caprice. Mais les préparatifs d’une bouillotte, déjà faits dans le salon, causèrent soudain une diversion calmante et nécessaire. Cette table fut bientôt entourée par l’envoyé, le chanoine, madame de Flakbach, M. de Moisimont (à cause d’elle), et enfin par l’amie dodue de madame de Moisimont. »