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Vers la Fée Viviane

Tu reviendrais en un rayon d’or, ma charmeuse,
Pour me guérir d’un bleu sourire de tes yeux… »

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Et dans le sang doré du couchant, des mâtures
Toutes rayonnantes, puis noires,
Dépassent les maisons et, hâtant leur allure,
S’enfuient, s’enfuient au loin comme les beaux espoirs.