Page:Narrache - Jean Narrache chez le diable.djvu/104

Cette page a été validée par deux contributeurs.

téressé. Tout de même, je me sentis forcé d’admettre que Louis n’avait pas été à son meilleur.

— « C’est que, vois-tu, ton ami a probablement perdu l’habitude de discuter depuis qu’il est dans l’au-delà ! »

— « Je crois que tu as parfaitement raison. »

— « Maintenant qui veux-tu voir à l’appareil ? »

Après quelques minutes de réflexion, je lui demandai d’appeler le pianiste Alfred Laliberté.