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SUITE PATHÉTIQUE 345

��« 

��Toute la maison est vide^ comme d'avoir soupiré.

La chaise^ en face^ semble attendre. C'est à en hausser les

épaules. . . {Fa, la sonnette du Jardin ne remuera plus les feuilles mouillées).

��* « « 

��Tous ceux que y aime sont loin ; ils dorment pendant que je

veille. Le vent d'ici passera contre leurs rideaux.

— Alors, ils se retourneront, sans s* éveiller, vers le mur.

— A ton cœur, qui bat trop vite, la pendule, sans impatience, répète pourtant la vérité :

Tout seul, tout seul, tout seul, tout seul. Tu ne comprends pas le rire des autres. Ton âme est aussi loin qu*en mer. On ri y peut rien.

�� �