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69O LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE

n'était plus de son église, sans être encore de la nôtre. Les obsèques civiles qui auraient été un scandale en d'autres cas, se sont trouvées du fait des circonstances le résultat d'une situation sans analogue et presque sans précédent. " Je m'en voudrais de rien ajouter à ce texte.

H. G.

��Trois traductions de Keats paraissent concurremment ; une seule complète, celle de Paul Gallimard l ne peut faire oublier la traduction partielle d'André Fontainas (bibliothèque de " Poésie "). Celle de la M ige de Clermont-Tonnerre 2 , incomplète également, a l'avantage de nous offrir en regard de son texte, le texte original, ce qui est assez courageux, car la plus belle traduction en restera toujours très distante, et une photogra- phie de l'admirable masque du poète " taken during life".

��Les Cahiers Nivernais consacrent à Charles- Louis Philippe leur fascicule de Février- Mars. Celui des deux portraits de Charles Guérin que n'avait pas reproduit la Nouvelle Revue Française ouvre cette publication. Elle contient une précieuse liste bibliographique des écrits de Charles-Louis Philippe, patiemment dressée par Paul Cornu, le directeur des Cahiers Nivernais. Cette liste pourra rendre de grands services lorsqu'il s'agira de réunir en volume les pages éparses de notre

��« un vol. à 3.50 ; Mercure de France. 8 „ „ Maison du Livre.

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