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POÉSIES POUR DAMES SEULES

��OMBRE

��O ma Sœur, je suis V ombre A ton corps attachée ! Ame toujours cachée Sous des formes sans nombre.

Faut -il encore attendre Une tardive aurore Et puis rouler encore Mon cœur de pierre tendre ?

Ne peux-tu donc éteindre, Léthé, ce feu rebelle ? Hélas ! elle est si belle Qu'on ne saurait la peindre.

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