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POÈMES 281

��NAPLES

��Je te retrouve, Napoli, Soleil Dieu iaiiré cï épliichures , Luisant sur les architectures Des cheveux des sœurs Rondoli !

Barbe vcrie des fiuocchi, Port de pourpre aux bras des mâtures. Blocs de couleur des couvertures Aux balcons mieux que sur les lits.

Je te retrouve encor qui chantes, Matrone aux deux joues éclatantes, Vautrée aux cris de la Chiaia.

Foin de l'art avare et des livres, O toi dont les gorges sont ivres, Can:;one Napolitana !

��CAMILLE SCHUWEK

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