Page:NRF 13.djvu/682

Cette page n’a pas encore été corrigée

^A

��LE PERE HUMILIE^

��ACTE III

Les ruines du Palatin, Un soir de la fin de septembre 1870.

SCÈNE I ORIAN, ORSO

ORSO. — Frère, ne sois pas si triste. Cela n'est pas déjà si amusant d'être parmi les vaincus, non, je n'aurais jamais cru que cela fût aussi désagréable !

Cet ofi&cier qui recueillait nos armes et qui riait en me regardant ! Il m'a reconnu et je le reconnaissais bien aussi. C'est un ancien camarade de loge.

Bon Dieu ! ne fais pas cette tête !

ORIAN. — La révolution est entrée à Rome, — à Rome aussi. — Les cloches ne sonnent plus de même pour moi.

ORSO. — Il y a tant de choses déjà que Rome a vu entrer et sortir 1

— Entre autres, mon futur beau-père.

I. Voir la Nouvelle Revue Française du i^ septembre.

�� �