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222 LA NOUVELLE REVUE FRANÇAISE

��ROMANCE

J'avais mêlé la France aux traits de son visage.

ma patrie ! si je défaille

pardonne

en somme

vaille que vaille

au long des ans, au long des guerres

n'ai-je été un bon militaire ?

J'ai vu la face endolorie de mon aimée, de ma patrie grands yeux que remplit Quelque larme, eau claire lac comble, urne amère.

Vous Français peuple triste adonné au désir j'ai rejeté la femme qui veillait sur mon cœur j'avais senti la France au fond de la douceur dont m'accablaient ses bras peuple jamais las d'une volupté fine.

Gloriole cocasse discipline Aujourd'hui, je te soumets mon regret.

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