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D’UNE PARISIENNE
Les Femmes
et les Asiles de Nuit
19 décembre 1899.
l gèle. La bise cingle, mord les visages
et met aux joues des Parisiennes, emmitouflées dans leurs
fourrures, de jolies roses rouges, qui les rendent
plus charmantes, cependant que sous les porches
de pauvres femmes s’abritent de la froidure,
guettant, dans le jour qui baisse, les promeneurs,
pour tendre vers eux, timides, avec un
murmure des lèvres, leurs mains bleuies, aux
doigts gourds.
L’obole donnée, on ne peut se délivrer, en