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LETTRES FAMILIÈRES.


la jeunesse ainsi que les Grâces. Jouissez longtemps des faveurs des unes et des autres.

Je ne vois plus votre ami M. T., et j’en suis fâché, car je l’aimais pour lui-même, et par reconnoissance des avantages qu’il m’a procurés en me liant avec vous.


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LETTRE CXV [1].


A M. BRESCON [2].


Vous voyez, Monsieur, que je ne fais pas si facilement de la prose que vous faites des vers. Il paroît que vous n’avez pas besoin d’être soutenu par votre sujet, puisque vous me louez. J’ai lu avec bien du plaisir votre lettre, et je me rappelle avec non moins de plaisir l’homme d’esprit qui l’a écrite.


Baron, 25 février 1732.


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LETTRE CXVI [3].


A M. LE PRESIDENT BARBOT.


J’ai eu, il y a quelques jours, mon cher Président, un

  1. Communiquée par M. Vian.
  2. Il lui avait envoyé un éloge en vers.
  3. Tiré des Tablettes de Bordeaux, in-12. Bordeaux, 1810, p. 199.